"L'échec est le fondement de la réussite"
"L'échec est le fondement de la réussite" (proverbe chinois).
Il y a peu, aux actualités télévisés, est passé un sujet sur l'échec à l'école.
Comment peut-on imaginer que le cursus scolaire d'un élève lambda, quelque soit son niveau d'étude, puisse se réaliser sans échecs ?
Des difficultés sociales, familiales, financières, médicales, pouvant en plus s'accumuler à de simples difficultés scolaires et rendre l'échec inéluctable.
En priorité, régler les problèmes connexes.
La nouveauté inquiète. Son approche est délicate et demande une attention particulière. La routine est d'une facilité trompeuse et ennuyeuse.
Les échecs sont nécessaires. N'est-il pas possible d'avancer dans l'erreur ? De ne pas comprendre et "d'avancer" ?
Se pose le problème de la gravité de l'échec: de l'échec sans conséquence à l'échec catastrophe.
Les échecs, les doutes, permettent une remise en cause. Rendre ces moments propices à un changement de cap.
Le "coup de pouce" est nécessaire et vital. La reconnaissance existe. La vision positive n'est alors plus très loin. Pour une même situation, l'approche n'est plus du tout la même et les solutions envisageables.
L'école et sa population sont un panel de la société. Le temps de la scolarité une tranche de vie.
La vie peut être abordée avec cette pensée échec-réussite.
Mais, il est vrai que le seul mot réussite est extrêmement ambigu.